On le constate avec les millions d’exemplaires consommés chaque année: les magazines d’ici ciblent un lectorat passionné et curieux qui passe à l’action après avoir vu ou lu quelque chose entre les pages d’un magazine. Le papier permet de connecter les lecteurs à leurs intérêts, et ce, sans notifications.
Avec un tel degré d’attention (un lecteur passe en moyenne une heure à consulter un magazine imprimé, contrairement à 15 secondes pour le Web), il ne fait aucun doute que l’imprimé est favorable aux annonceurs. Le marketing numérique suscite les achats rapides et impulsifs et c’est un public qu’il faut arriver à rejoindre. Mais en complémentant l’offre numérique avec une présence en magazine, on « boost » la crédibilité de la marque en plus de créer un sentiment d’attachement plus fort envers celle-ci.
Prendre le temps
En créant un lien tangible et de plus longue durée (appelé « effet de réputation »), on donne le temps au consommateur de s’informer, de faire ses comparatifs… Bref, de faire un processus réfléchi pour acheter des biens durables ou des produits qui requièrent une plus grande attention dans le processus d’achat.
Découvrez pourquoi le magazine est idéal pour promouvoir un produit ou un service
qui nécessitent un processus d’achat plus long et plus complet :
Les magazines imprimés, en combinaison avec une stratégie numérique, permettent de trouver des concepts novateurs et de pousser encore plus loin la marque à mettre de l’avant. Chez Pratico-Pratiques, une maison d’édition basée à Québec, le marketing de contenu fait partie intégrante de la stratégie d’affaires, au bénéfice de tous. « Création de recettes, “ DIY ”, magazines personnalisés… J’ai l’impression qu’on repousse chaque fois la barre encore plus haute, au bénéfice de nos lecteurs et de nos annonceurs », souligne la présidente et éditrice, Caty Bérubé.
En effet, les lecteurs de ce magazine sont très réceptifs aux produits mis de l’avant dans le magazine « 5 ingrédients, 15 minutes »: 79% d’entre eux se sont procuré un produit après l’avoir découvert dans cette publication mensuelle. Cela représente un magnifique bassin de clients potentiels et, au Canada, mène dans 36% des cas à une action d’achat.
Chez « Ricardo », 87% du lectorat sont les principaux décideurs en épicerie.
Stimulante combinaison
Bien que l’industrie du magazine ait subi des transformations au cours des dernières années, l’offre est encore très vaste et très diversifiée, et surtout encore très riche en matière de contenu. En étant davantage dans le moment présent, le lecteur est plus attentif à l’offre et donc, la marque est stimulée.
« Avec le magazine, l’expérience de consommation est différente. On s’assoit tranquillement, on prend un moment pour soi. On prend le temps de lire les textes, de regarder les photos, ce qui n’est pas le cas avec le numérique où on a des notifications. »
- Caty Bérubé, présidente et éditrice de Pratico-Pratiques
Pour en savoir davantage sur l’expérience du consommateur et la relation émotive avec le magazine imprimé, consultez cet article.
Des données suggèrent même qu’en combinant l’imprimé avec la télévision et une stratégique numérique, on constate une augmentation de 15% de la notoriété de la marque.
Une industrie en évolution
L’industrie du magazine, tant pour les éditeurs que pour les annonceurs, n’est pas en déclin: « Elle est en transformation et même en évolution. On est dans une nouvelle ère des magazines », croit Geneviève Vézina-Montplaisir, coéditrice chez « Caribou ». Ce qui signifie pour les annonceurs que l’imprimé doit être en synergie avec le numérique pour un impact maximal et un environnement marketing à 360 degrés.
La rédactrice en chef de « L’actualité », elle, l’a bien compris: « L’industrie est en transformation. C’est encore sur le papier, mais c’est aussi sur le Web, en vidéo, en balado, en événements. Pour moi, les magazines, c’est pas un objet, c’est une façon de penser l’information, et ça, ça ne disparaîtra jamais! », affirme Claudine St-Germain.
Objectifs atteints
Cette combinaison médiatique permet de répondre à différents objectifs des annonceurs. D’abord, pour rejoindre ou transmettre un message rapide et direct aux consommateurs: le numérique et la télévision sont une manière efficace de le faire. On le constate, 75% des membres de l’Association des éditeurs de magazines du Québec (AQEM), ont connu une importante croissance de leur auditoire numérique entre 2020 et 2021.
Mais ce client « rapide » reste-t-il fidèle ? Vous recommande-t-il ? Devenez-vous une référence pour lui ? Pas nécessairement. Pour cela, c’est l’imprimé que ça prend !
Les magazines locaux rejoignent des cibles passionnées, informées et avides de nouveaux produits et de nouveaux contenus. La notoriété et la relation à long terme avec l’annonceur nécessitent des messages approfondis qui résonnent auprès du lecteur, qui contiennent les informations dont il a besoin pour faire confiance à une marque.
Le temps moyen consacré à la lecture d'un magazine papier est
d’une heure par numéro, contrairement à 15 secondes pour le Web.
Bref, lorsqu’on veut s’assurer de rejoindre (vraiment) les consommateurs avec du contenu de qualité qui les pousse à passer à l’action par l’achat, le bouche-à-oreille ou simplement la connaissance personnelle, les magazines sont le canal par excellence pour le faire.
Remarquez à quel point les magazines sont adaptés aux besoins, aux tendances et aux intérêts des Québécois :