La réalité des magazines : Cap sur information locale et spécialisée


Fort de ses 10 000 magazines imprimés et numériques publiés chaque année, le Québec se lit et se consomme dans les publications d’ici!

Riche de son contenu, le magazine s’adapte, suit les tendances et offre une vitrine exceptionnelle aux produits bien de chez nous. Et surtout, le magazine permet de cibler de façon bien définie le lecteur et donc, de lui proposer un produit ou un service qui répondra à son besoin spécifique de consommateur.

Une affaire de contenus

Qu’il soit divertissant ou informatif, le magazine est d’abord une affaire de contenus. Développés avec rigueur et professionnalisme, ceux-ci ciblent une foule de sujets et de passions. Chasse et pêche, nature, cuisine, voyage, divertissement, arts créatifs, art de vivre, pour les jeunes, les adultes, les retraités ou les sportifs : pratiquement chaque passe-temps bien ancré dans les habitudes des Québécois a un magazine ou presque qui lui est consacré! Ce sont huit Québécois sur dix qui sont rejoints via les magazines, et 73% des adultes se considèrent comme des lecteurs réguliers de magazines.

En étant spécialisées, les publications bénéficient d’équipes tout aussi compétentes et dont l’expertise est mise en valeur par l’espace, la mise en page et la pérennité du magazine. « Les magazines, ce n’est pas comme les journaux. On a le temps de travailler le contenu, de le peaufiner… Ça peut juste donner du contenu de qualité. Le magazine se spécialise. Il est donc intéressant pour les annonceurs, car ils s’adressent à des auditoires ciblés », précise Geneviève Vézina-Montplaisir, coéditrice au magazine « Caribou ».

Édité par Cervidés Média, ce périodique, publié deux fois par année, met de l’avant la culture et l’identité agroalimentaire québécoises. Une vitrine exceptionnelle – et de qualité supérieure – pour ce secteur de l’économie. Et pour laquelle les lecteurs sont prêts à s’abonner ou à débourser, sur une base récurrente, une partie de leur budget de consommation.

Pour en savoir plus sur l’information de qualité supérieure qu’offrent les magazines d’ici
et l’impact pour les annonceurs, consultez cet article.

La culture d’ici dans les magazines d’ici

Dans son mémoire sur l’état de l’industrie du magazine au Québec présenté devant l’Assemblée nationale en 2019, l’Association québécoise des éditeurs de magazines (AQEM), soulignait la richesse de la diversité des contenus produits par les éditeurs d’ici. « Tous ces magazines, chacun à sa façon, reflètent notre culture, notre façon de vivre, de manger, de consommer, de lire, d’épargner », soulignait-on dans le mémoire.

Pour Caty Bérubé, présidente et éditrice de Pratico-Pratiques, les magazines représentent un fabuleux canal pour communiquer les réalités et intérêts bien de chez nous. « Les magazines d’ici sont faits par des gens d’ici. On reflète la réalité du Québec, on utilise des contenus d’ici, qui sont complètement adaptés aux tendances et aux réalités des Québécois », spécifie-t-elle.

Ainsi, les magazines locaux, quelles que soient leurs spécialités, deviennent des moteurs de tendances, d’idées, d’expertises… « On conseille même des entreprises alimentaires sur les tendances alimentaires tellement notre expertise, bâtie et développée au fil des 18 dernières années, est reconnue », souligne avec fierté Caty Bérubé.

Dans le cas de cette grande maison d’édition basée à Québec et spécialisée notamment en production de contenus culinaires, on mise sur une information de qualité sur laquelle les gens se fient et dont la crédibilité n’est plus à faire. « On a parfois trop d’information. Il y a des milliers de recettes accessibles en ligne. Mais laquelle est la bonne? Laquelle a été testée? C’est dur de le savoir… Dans le magazine, le cycle est plus long. On s’assure de valider que tout soit testé, que la qualité des contenus soit là. »

«La profondeur, l’analyse, c’est ce qui nous différencie des autres médias dont l’objectif est de rapporter les nouvelles.»
- Claudine St-Germain, rédactrice en chef de « L’actualité »

La qualité, gage de succès

Dans les petites ou les grandes maisons d’édition, le développement de contenus de qualité (et spécialisé) représente donc une condition essentielle à une industrie en santé. La rédactrice en chef de « L’actualité » le résume ainsi : « Chaque magazine offre quelque chose que les autres n’ont pas. » C’est ainsi que l’industrie demeure compétitive.

Ces efforts investis dans une information digne d’intérêt et de qualité rejaillissent nécessairement sur les annonceurs qui se trouvent entre leurs pages, apportant une bénéfique crédibilité à leurs produits ou services.

En effet, il est démontré que le lecteur d’un magazine papier est davantage orienté vers l’action après avoir vu une publicité ou une information sur un produit ou un service. Cette action se concrétisera ensuite par la consultation de site, la recherche en ligne, des achats ou des recommandations de bouche à oreille chez plus de 50% des lecteurs. 

Consultez cet article pour en apprendre davantage sur les réactions
émotionnelles et psychologiques bénéfiques des magazines!

100% disponible

Libéré du brouhaha et des notifications des appareils mobiles, l’annonceur gagne à être entre les pages imprimées. Le lecteur, qui a acheté un magazine sur une thématique spécifique qui l’intéresse, qui consacre du temps pour le lire, qui s’attarde à tout ce que la publication a à lui proposer, est ouvert aux différentes propositions.

Une présence imprimée garantit qu’un public passionné, inspiré et informé a pris connaissance du contenu (via la publicité ou le marketing de contenu par exemple), qu’il y a porté attention, qu’il le comprendra et qu’il s’en souviendra. Bref, les magazines d’ici connectent aux passions, sans interruption. En étant 100% disponible pour le contenu, informatif ou publicitaire, le lectorat des magazines d’ici représente certainement une cible captive, intéressée et hautement qualifiée pour les annonceurs. 

Stratégie intégrée

Devant l’abondance de contenus et de publicités donc – et avec l’évolution constante des réseaux sociaux et du numérique – il est essentiel de créer une stratégie bien intégrée, multiplateforme et bien adaptée à nos clientèles cibles. Le papier se démarque clairement au niveau de l’incitation du lecteur à agir.

À titre d’exemples: parmi les lecteurs de « Ricardo », 87% sont les principaux décideurs d’achat en épicerie alors que 454 000 lecteurs du « Coup de pouce » disent miser sur les achats locaux au quotidien. Les lecteurs de « Québec Oiseaux », eux, dépensent en moyenne 500$ par année en équipement lié à leur passion.

Constatez pourquoi annoncer dans un magazine permet de joindre directement la clientèle-cible :

Définitivement, investir du budget media dans l’imprimé, c’est une valeur ajoutée !