À l’ère de la désinformation, où la qualité et la rigueur de l’information sont parfois compromises, les magazines d’ici demeurent un gage de qualité.
Pour les lecteurs, la fiabilité des magazines n’est plus à faire. Pensons à «L’actualité», mentionné par 10% des gens comme étant une marque fiable pour s’informer, selon « Les médias québécois d’information – État des lieux en 2022 », proposé par le Centre d’études sur les médias.
La qualité supérieure de nos magazines provient du fait qu’ils sont pensés par des gens d’ici, pour les consommateurs d’ici. « Les magazines locaux sont les seuls à s’intéresser à ce que nous on vit, qui on est et aux enjeux qui touchent les Québécois. Et même quand ils parlent de l’étranger, ce sont les seuls qui le font à partir de notre point de vue à nous, ce qui nous permet de mieux comprendre ce qui se passe ailleurs », note Claudine St-Germain, rédactrice en chef de « L’actualité ».
Rigueur et professionnalisme
Le magazine évoque encore et toujours la rigueur et le professionnalisme. Tout cela, c’est grâce au talent des centaines de professionnels qui sont embauchés par les 40 maisons d’édition représentées par l’Association québécoise des éditeurs de magazines.
Ces professionnels, spécialisés dans leur domaine et dans le sujet des magazines pour lesquels ils œuvrent, donnent toute la richesse aux contenus proposés.
Journalistes, rédacteurs, chefs cuisiniers, stylistes, directeurs artistiques, graphistes, réviseurs… Ce ne sont que quelques-uns des corps de métier qui confèrent toute la force et la qualité aux magazines québécois. C’est grâce à eux que ceux-ci peuvent offrir la plus haute qualité de contenus, une valeur ajoutée autant pour les annonceurs que pour les lecteurs.
« Un magazine, c’est de l’information. Oui, on informe en divertissant, mais la qualité des magazines qu’on a au Québec est incroyable. On a des journalistes talentueux, rigoureux… et des éditeurs qui font une job incroyable! Les magazines sont des médias d’information! », défend avec vigueur Geneviève Vézina-Montplaisir, coéditrice de « Caribou ».
Le temps de bien faire les choses
Car contrairement aux journaux, les magazines ont le temps de fouiller les contenus sur tous leurs angles. « Les magazines, ce n’est pas comme les journaux. On a le temps de travailler le contenu, de le peaufiner… Ça peut juste donner du contenu de qualité. Le magazine se spécialise. Il est donc intéressant pour les annonceurs, car il s’adresse à des auditoires ciblés », précise Geneviève Vézina-Montplaisir. Caty Bérubé, éditrice et présidente de Pratico-Pratiques, abonde dans le même sens: « L’industrie du magazine est encore très riche en matière de contenus de qualité. »
« Les magazines, c’est une façon de penser l’information et ça, ça ne disparaîtra jamais! »
- Claudine St-Germain, rédactrice en chef de « L’actualité »
Pour en savoir plus sur la spécialisation des périodiques et
les avantages pour les annonceurs, consultez cet article.
Notoriété pour les annonceurs aussi
Cette notoriété que ces employés infusent dans les publications a un impact direct sur les produits et services qui sont mis de l’avant. En effet, les publicités vues dans un magazine imprimé (via le placement ou le marketing de contenu) vont pousser 36% des Canadiens à l’action. Avec 21,4 millions de magazines vendus l’an dernier, cela fait un beau bassin de consommateurs pour les produits locaux qui paraissent entre leurs pages.
21% des abonnés de « Protégez-Vous » considèrent comme utile l’aide apportée par le magazine dans leurs décisions d’achat. Les lecteurs bien informés deviennent donc des consommateurs avisés. Satisfaits des contenus de qualité proposés, ils y accordent une attention et une crédibilité évidentes.
Le lectorat des magazines d’ici est donc une cible captive, intéressée et hautement qualifiée pour les annonceurs. Passionnés et dotés d’une information crédible, validée et de grande qualité, les lecteurs perçoivent le contenu des magazines comme un gage d’excellence. Une preuve qui n’est plus à faire quand on sait, par exemple, que 79% des lecteurs du magazine « 5-15 » édité par Pratico-Pratiques se sont procuré un nouveau produit découvert entre les pages du périodique !
Informer plutôt que déranger
En se spécialisant et en offrant une information rigoureuse, le magazine spécialisé est « intéressant pour les annonceurs, car il s’adresse à des auditoires ciblés et informés », maintient la présidente et éditrice de Pratico-Pratiques, Caty Bérubé. Dans cette maison d’édition, les contenus informatifs et publicitaires sont en synergie complète. La publicité informe plutôt que de déranger et est parfaitement intégrée aux thématiques abordées entre les pages.
En combinaison ou non avec l’univers numérique, les possibilités sont quasi infinies pour les annonceurs. Articles rédactionnels, publireportages, marketing de contenu, « DIY » ou création de projets qui répondent aux besoins spécifiques des annonceurs… Cette expertise que l’on trouve dans chacun des magazines d’ici solidifie leur crédibilité. En ciblant les magazines pour s’informer et s’éduquer, les lecteurs deviennent donc eux-mêmes une valeur ajoutée et un véhicule de promotion pour les annonceurs. Plusieurs études démontrent d’ailleurs que les magazines aident les annonceurs à atteindre leurs objectifs de vente, comme média unique ou en combinaisons.
Réceptif et actif
Non seulement le lecteur est plus réceptif avec le papier, mais en plus, il agit davantage. Le rêve des annonceurs, quoi ! Vraiment, avec une vision transformée de l’imprimé, les résultats vont efficacement changer !
Découvrez comment les magazines locaux, avec leur contenu personnalisé adapté aux besoins,
aux tendances et aux intérêts des Québécois, sont bénéfiques pour les annonceurs :